En Grèce, la situation sur le jeu en ligne ne fait que faire du bruit. Le mouvement mené de front par Remote Gambling Association (RGA) et (EGBA) ou Européen Gaming and Betting Association sont pour un projet de loi sur les jeux d’argent sur internet. Pourquoi cette agitation ? Tout simplement parce que la Grèce avait annoncé haut et fort que le jeu d’argent en ligne et le jeu de hasard est un commerce qui peut être exploité par n’importe qui du moment qu’il veut investir dans ce marché. Et pourtant c’est l’OPAP une des grandes sociétés d’argents en ligne qui domine ce marché actuellement dans ce pays poussant à la révolte des autres qui eux aussi veulent tirer profit du marché d’internet. D'ailleurs, L’EGBA et la RGA disent qu’il y a une loi qui protège l’OPAP de son monopôle et qui devrait toute aussi permettre d’élargir le marché pour que celui-ci soit accessible à tous.

Une récente déclaration de l’EGBA avait souligné que la Grèce fait tout simplement le sourd face aux lois mises en vigueur par l’Union Européens. C’est l’OPAP qui majoritaire dans le jeu en ligne depuis longtemps. Une société privée qui a pris une grande place dans l’économie de la Grèce, car celui-ci possède les 34 % des actions et est acteurs en bourses à Athènes.

Si les autres prestataires de jeu en ligne montent le ton contre la non-conformité de la Grèce sur les droits émis par la communauté européenne et par la commission européenne, le sujet devient de plus en plus brulant pour ces prestataires en ce moment, car rien ne semble faire changer d’avis l’Etat de la Grèce. La Commission Européenne a déploré à deux reprises en 2008 comme en 2012 cette non-conformité de la Grèce qui vient entraver la politique mise en place par l’UE. Cette Union Européenne affirme même prendre des mesures si les choses vont encore à contre sens de la politique mise en place. Et non seulement ce sera la Grèce qui est tenue de maintenir un cap conforme à la législation, mais tous les états membres de l’UE sont tout aussi invités à suivre les consignes sur la législation des jeux de hasard et des jeux en ligne élaborées par l’Union Européenne.

En Grèce, les choses vont un peu mal pour les autres prestataires de jeu en ligne, mise  à part l’OPAP qui ne fait que gagner du terrain par ces moyens financiers. Les autres prestataires ont d’ailleurs subi une pénalisation suite à un dispositif mis en place par l’état Grèce. Comme quoi, il ne faut pas faire de la publicité de jeu voire, ne pas communiquer du tout ces produits à la population Grecque sous peine de subir une sanction.

L’OPAP n’est pas perçu de bon œil par le CJUE qui dit que cet opérateur ne remplit pas tous les critères et que les actions menées par celui étaient loin d’être justifié. Par conséquent, une relance des procédures sera enclenchée d’ici peu pour mettre chacun sur les mêmes pieds d’égalité.